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L’ail Tue 14 Types De Cancer Et 13 Types D’infection : Pourquoi Les Médecins Ne Le Prescrivent-ils Pas ?

L’ail, ou Allium sativum, est bien plus qu’un simple condiment culinaire. Utilisé depuis l’Antiquité, il est considéré par de nombreuses traditions médicales comme un remède naturel puissant contre de nombreuses maladies. Malgré l’abondance de preuves scientifiques sur ses propriétés anticancéreuses, antibactériennes, antivirales, et antifongiques, il reste étonnamment peu prescrit dans le cadre médical conventionnel.

Un arsenal naturel contre le cancer

Des études cliniques et expérimentales ont démontré que l’ail est capable de neutraliser ou inhiber la croissance de 14 types de cancer, notamment :

  • Cancer du sein
  • Cancer du poumon
  • Cancer de la prostate
  • Cancer du pancréas
  • Cancer de l’estomac
  • Cancer du foie
  • Cancer du côlon
  • Cancer du cerveau
  • Cancer de la peau (mélanome)
  • Cancer de l’œsophage
  • Cancer du pharynx
  • Cancer de la vessie
  • Cancer du rein
  • Leucémie

Les principaux composés actifs de l’ail, dont l’allicine, l’ajoène, le disulfure de diallyle et le trisulfure de diallyle, ont démontré des effets puissants sur l’apoptose des cellules cancéreuses, la réduction de l’angiogenèse tumorale (formation de nouveaux vaisseaux sanguins), et l’inhibition de la prolifération des cellules anormales.

Des infections mortelles neutralisées par l’ail

L’ail a prouvé sa capacité à éradiquer 13 types d’infections résistantes, notamment :

  • Helicobacter pylori (responsable des ulcères gastriques et du cancer de l’estomac)
  • Candida albicans (infections fongiques)
  • MRSA (Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline)
  • Pseudomonas aeruginosa (résistant aux antibiotiques)
  • Mycobacterium tuberculosis (tuberculose)
  • Cytomégalovirus (CMV)
  • Herpès simplex 1 et 2
  • Virus de la stomatite vésiculaire
  • Rhinovirus humain de type 2
  • Parainfluenza virus type 3
  • Streptocoque du groupe B
  • Infections à Klebsiella
  • Infection par le VIH-1

Ces effets sont attribués à ses composés soufrés bioactifs capables de perturber la membrane cellulaire des bactéries, d’inhiber la réplication virale et de restaurer l’équilibre du microbiote.

Pourquoi l’ail est-il ignoré par la médecine conventionnelle ?

Malgré plus de 4000 études scientifiques recensées sur la base de données PubMed/MEDLINE, l’ail reste peu intégré aux prescriptions médicales. Plusieurs raisons peuvent expliquer cela :

  1. Absence de brevetabilité : L’industrie pharmaceutique ne peut pas breveter un aliment naturel comme l’ail, ce qui réduit l’intérêt commercial.

  2. Manque de formation des médecins : Les études de médecine insistent peu sur la nutrition fonctionnelle et les remèdes naturels.

  3. Préférence pour les traitements standardisés : Les médicaments allopathiques ont des dosages fixes, contrairement aux aliments fonctionnels comme l’ail dont la biodisponibilité peut varier.

  4. Résistance culturelle : La médecine moderne tend à séparer traitements pharmacologiques et alimentation, bien que Hippocrate, le père de la médecine, ait affirmé : « Que ton aliment soit ton médicament ».

Comment consommer l’ail pour en maximiser les effets médicinaux ?

1. Laisser reposer l’ail écrasé avant consommation

Il est essentiel d’écraser l’ail et de le laisser reposer 10 à 15 minutes avant de le consommer. Cela permet l’activation de l’enzyme allinase qui transforme l’alliine en allicine, le composé bioactif le plus puissant.

2. Dose thérapeutique recommandée

Pour un effet antifongique ou anticancéreux, il est conseillé de consommer 5 à 6 gousses d’ail cru par jour. Cela correspond à environ la moitié d’une tête d’ail.

3. Cru ou légèrement cuit ?

  • Cru : plus puissant, mais plus difficile à digérer.

  • Cuit à basse température (moins de 60°C) : conserve une partie de ses propriétés tout en étant plus doux pour l’estomac.

4. Précautions

  • Évitez les suppléments industriels d’ail non standardisés, souvent dépourvus d’allicine active.

  • Les personnes sous anticoagulants doivent consulter un professionnel de santé avant consommation massive.

  • Peut causer une odeur corporelle forte et une haleine persistante.

Des données scientifiques massives et ignorées

L’ail est étudié pour plus de 150 conditions médicales, y compris :

  • Hypertension artérielle

  • Hypercholestérolémie

  • Diabète de type 2

  • Intoxication au mercure

  • Dommages oxydatifs de l’ADN

  • Accumulation de plaque dans les artères (athérosclérose)

  • Infections systémiques résistantes

Sur le site GreenMedInfo.com, plus de 167 maladies ou symptômes sont listés comme ayant une réponse positive à l’ail.

L’ail : une alternative peu coûteuse, sécurisée et disponible

Contrairement à de nombreux traitements onéreux, l’ail est :

  • Économique

  • Accessibles à tous

  • Sans effets secondaires majeurs

  • Riche en antioxydants

  • Compatible avec d’autres thérapies naturelles

Il représente une arme de prévention massive contre les maladies chroniques de notre siècle. De nombreuses sociétés traditionnelles l’utilisent encore quotidiennement, et son intégration dans l’alimentation devrait être encouragée.

Conclusion : la santé est entre vos mains

Il est clair que l’ail n’est pas simplement un condiment, mais un remède ancestral puissant, validé par la science moderne. Dans un monde où les résistances aux antibiotiques explosent et où les cancers se généralisent, revenir à des solutions naturelles, accessibles et efficaces est une nécessité.

La médecine moderne gagnerait à intégrer des thérapies nutritionnelles et phytothérapeutiques dans ses protocoles standards. En attendant, chacun de nous peut faire le choix d’adopter une consommation régulière d’ail dans une optique préventive ou thérapeutique.